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Cahier décharge Je ne sais pas ce que c'est, je le saurai quand j'aurai terminé. Et j'aurai terminé quand je saurai ce que c'est.

Page du 20 septembre 2020 jour de temps de chien...

Denis Vallier
Page du 20 septembre 2020 jour de temps de chien...

Ah l’amour… ses joies, ses peines, ses brûlures… Est-il douleur plus admirable que de se consumer ensemble? Eh bien, si tu viens de subir un échec amoureux, écris et lis tes ratures… Les relations et particulièrement les peines amoureuses sont le carburant principal de toutes les littératures, de toutes les poésies. Enjolivés d'amour aux caprices séduisants, le vent se fait léger et le chemin qui se perd au loin moins long. Sinon, que d’inquiétudes, que de questions… Sans peur du lendemain comment pourrions-nous folâtrer aux bords des précipices en les ignorant ? Cette poésie de guimauve à l’eau de rose que l’on nous sert depuis des millénaires est d’un répétitif particulièrement pénible, d’un ennui mortel, pour tout dire, d'un chiant, mais d’un chiant !... Ah l'amur toujurs ! Non et re-non ! Les fesses ne sentent pas la rose, ça sent le cul même s’il est épilé et récuré ! Pourquoi ne pas oser dire que l'on aime l'odeur du cul nom d’un chien ! N’est-ce pas Léo ?  "Je n'écris pas comme de Gaulle ou comme Perse… Je cause et je gueule comme un chien…Je suis un chien !" Ta nature ne te dérange pas. Il y a pire que les intégristes de tout poil, il y a les poètes qui n'ouvrent pas les yeux... Et pourtant on peut oser la lucidité et cela sans démentir la poésie : "Et cette touffe de noir Jésus qui ruisselle dans son berceau"… "La solitude est dans mon froc !", etc… C’est extra ! N’est-ce pas Léo ?

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